27 novembre 2011
27
27 toutes
toutes les nuits vers 5h je me lève
puis me recouche dans un immense soupir où roule et tinte ton prénom
j'enlace du vide que je veux vivant et tiède
parfois tes cheveux frolent mes lèvres
en souvenir vibrant ma main telle une coquille sur ta toison
mais tu ne te retournes pas ni ne murmures ni ne gémis.....
peut être entre tes draps, un zéphyr et tu frissonnes.
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