27 novembre 2011
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J’étais en exil au milieu des terres à t’espérer.....
je viens tutoyer tous tes versants :
la pointe de tes seins.
ta pupille en myrtille,
ta course dans la vie,
tes pas sur l'asphalte,
la pluie glacée sur ta nuque,
tes sursauts,
tes craintes, ta joie......
Je viens te mordre de baisers doux comme un vent d’été,
et avec toi apercevoir l'envers des nuages.
Ah ! t'écouter fredonner, au lever,
un refrain de nuit courte et moite.
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